Délia Espinat Dief est une jeune comédienne ayant intégré le cours d’art dramatique au Conservatoire de Toulouse à 16 ans après avoir appris à jouer de la flûte traversière, elle commence à jouer dans « L’école des femmes » au théâtre la même année.

Amatrice de comédie théâtrale, elle y joue encore en 2020 à Paris mais sa filmographie est déjà impressionnante avec ses premiers courts métrages et pas moins de dix films et séries à son actif en moins de dix ans ! En 2014, elle joue dans « tristesse club » et en 2015 elle décroche le casting du premier long métrage d’Etienne Labroue dans « L’élan ».

Délia Espinat Dief : du court-métrage aux longs-métrages à succès !

Faire du cinéma n’était pas du tout dans ses objectifs, allant souvent au théâtre avec ses parents, elle n’en rêvait point jusqu’au jour où elle intègre les arts du spectacle et la cours des comédiens pour faire valoir ses dons artistiques. Réelle interprète du spectacle vivant, d’abord en répétitions et représentations théâtrales puis au cinéma, la comédie-française n’a plus de secrets pour elle. Sa capacité scénique a attiré à elle une quinzaine des réalisateurs les plus connus.

La presse cinématographique encense la nouvelle génération de comédien, réalisateur, scénariste, metteur-en-scène, cinéaste et producteur ainsi qu’avec elle, ces jeunes actrices prometteuses ainsi qu’une équipe de comédiens comme Mathieu Amalric et Pierre Jeunet : une nouvelle vague de comédiens en salles de spectacles comme pour l’audiovisuel et Netflix avec ses documentaires, séries TV et cinémathèque à succès dignes du festival international, du festival de Cannes, favoris du jeune public, où Hollywood n’a qu’à bien se tenir !

Délia Espinat Dief : jeune espoir de la scène nationale !

Depuis ses débuts après ses premiers cours de théâtre français, avec sa première pièce de théâtre et troupe théâtrale en jouant du Molière aux côtés de son professeur Francis Azéma, les décors, le nombre de comédiens et le réalisme ont eu raison des talents et de l’amour de cette jeune actrice pour ce métier poétique ! Elle est encore jeune quand elle intègre le monde du cinéma grâce à un jeune cinéaste, Martin Le Gall, lui permettant d’endosser le rôle d’une adolescente pas comique mais gothique, encore frais dans sa mémoire. Faire un long métrage n’était pas du tout prévu au départ mais les expériences s’enchaînent et Délia commence à faire sa place auprès des grands noms du cinéma. Rêvant désormais d’Audiard, de Resnais, de Camus, de Godard, de Lelouch, de Chabrol ou Pialat, de Belmondo, Lescot ou Garrel, cette belle actrice qui n’a rien à envier à Bardot est enfin attirée par le cinéma français laissant de côté les pièces de théâtre pour surfer auprès des cinéastes nouvelle vague.

Le spectateur ne se lasse pas de ce joli minois depuis ce premier-film jusqu’à aujourd’hui où elle jongle entre le jeu théâtral et le cinéma des nouveaux cinéastes. Délia Espinat Dief obtiendra peut-être rapidement un des césars du meilleur espoir féminin ou de la Palme au festival de Cannes, dans l’un de ses prochains films, comédies, film d’animation, film-documentaire ou comédie musicale. Ce jeune talent deviendra peut-être aussi productrice, scénariste ou réalisatrice à son tour pour présenter ses œuvres au festival du film aux côtés de la nouvelle génération de réalisateurs. Alors sa vie devient le théâtre de l’improvisation du meilleur scénario possible de l’histoire du cinéma, avec les plus beaux costumes dans les studios les plus connus du cinéma français !